PARTENARIATS

Dans cette aventure, nous suivront :

a-Dimmage Factory soutient le projet de résidence à Timimoun. L'association dont le but est de promouvoir les arts visuels et scéniques et particulièrement la photo et la vidéo. Dimmage Factory met à disposition son matériel de tournage et de prises de vues. Christine Fassanaro, membre de l'association fera partie du voyage et s'occupera de la partie audiovisuelle liée à la résidence.

b. l'association TALA N'TUSNA / Agoussim s'est engagée à financer les frais sur place c'est à dire le transport par bus d'Alger à Timimoun et les frais d'hébergement sur place. C'est à Agoussim que ce projet de musique fusion a vu le jour lors du festival Raconte-Arts en 2014.

c-La ligue des Arts dramatiques et cinématographique de Tizi-Ouzou soutient totalement le projet de résidence.

Comme son nom l'indique, c'est un regroupement d'associations qui se sont liées dans cette ligue qui est en fait une association départementale. Nous disons ici association de wilaya.

La LACD a été créée en 2000 et n'a eu son agrément qu'en 2001, c'est à dire une année après.

Les fondateurs de la ligue sont les 5 associations: Azar d'Agouni Ahmed, la Ruche d'Ait Larbaâ, AAJ de Maâtkas, Amezgun Njerdjer, Ithrene njerdjer et un ensemble de personnalités venant des secteurs de la Jeunesse et des Sports, de la culture et de l'enseignement.

Les objectifs de la Ligue sont de promouvoir la pratique théâtrale et le cinéma en Kabylie.

Nous avons organisé en 2003 une semaine de cinéma à la Maison de la culture de Tizi-Ouzou sur le thème de la non-violence. Cette activité a vraiment représenté pour nous un véritable baptême de feu. Elle a aussi durant une année sillonné les villages de montagne afin de faire des projections publiques de films en plein air. Elle avait intitulé ce programme: "Le cinéma en villégiature". En 2004, elle a lancé notre festival international Raconte-Arts.

Elle organise beaucoup de stages de bibliothécaires, des stages d'écriture, de théâtre et de cinéma. Elle accompagne comme partenaire depuis plus de 5 ans, le festival de théâtre de plein air de Beni-Yenni qui se déroule au mois d'août. Elle est également fondatrice du festival Raconte’Art, festival itinérant qui se tient en Kabylie chaque années, depuis 11 ans.

Sur ce projet, la Ligue intervient en tant que parrain du projet et nous aide à organiser le voyage en nous soutenant dans les formalités administratives locales (autorisations)

d. L'association Aglio, Olio et Peperoncino est une association marseillaise, dont les locaux sont situés Casa Consolat, à côté des Réformés, en plein coeur de Marseille. Créée en 2011 et regroupant diverses nationalités (françaises, italiennes, chiliennes…) elle est porteuses de nombreux projets divers.

Elle gère une cantine associative fondée sur les principes d'une alimentation saine, peu coûteuse et conçue à partir de produits locaux

La Casa Consolat propose également une programmation culturelles, les mercredi, jeudi et vendredi soir : concerts, vernissages d'expositions, projections à thèmes, soirées de soutient etc... Elle a donc l'habitude de recevoir des artistes aussi bien étrangers que locaux.

Elle est également en partenariat avec des structures à l'étranger, comme le Lampedusa film festival, à Lampedusa en Italie. Enfin, La Casa Consolat a déjà organisé des soirées « algériennes », projections de films, notamment une soirée de soutien au festival « Raconte'Arts » pour récolter des fonds, et qui a eu un franc succès.

Aujourd'hui, l'association souhaiterait créer un nouveau pôle : celui de résidences artistiques à l'étranger et une grande motivation est né pour la résidence à Timimoun proposée par Fauve Beauvieux et comptant déjà cinq membres de l'association.

Le lieu est à disposition pour les répétitions et la restitution se fera également entre ses murs, lors d'une soirée organisée suite à la résidence et durant laquelle le public assistera à des projections d'images et un show-case live.

e. Institut Francais d'Alger:

En coopération avec des partenaires algériens, l’Institut français d'Algérie intervient dans les domaines de l’enseignement supérieur et de la recherche, des langues et de la francophonie et des échanges culturels et artistiques. Dans le domaine artistique, par une programmation soutenue d’événements, l’appui aux jeunes créateurs, le soutien aux secteurs du livre et des médias, l’aide à la formation, etc.

MUSICIENS

Du côté franco-italien

Alix Nerin : Pratique la clarinette depuis qu’il a 10 ans, et depuis 7 ans, fait partis de l'ensemble de clarinette de la cité de la musique : l'arbre d'ébène. Il a joint il y a 3 ans la fanfare de musique cubaine la comparsa, et depuis 2 ans la compagnie occitane Grive & Ours. Il a participé à de nombreux évènements comme le carnaval de marseille, Yes we camp, parole de galère ... Et la consécration avec la venue à Racont'art l'été dernier.

Jérémie Chapelain : Héritier sans fortune d'inspirations aussi diverses que le punk à guimbarde et le bredouillement breton, قبعة جيرونيمو (autrement dit Géronimo Chapeau) fabrique des chansons qui évoquent, inévitablement, l'amour et la mort.

Christophe Roux : Né et grandi en Auvergne, il commence le violon en 1999 à 24 ans à Tulle en Corrèze. Après 3 ans de ces cours fréquents de violon il a commencé à découvrir de nombreux "cousins" du violon dans les pays où il travaillait en mission humanitaire. Il a ainsi pris des cours et ramené les instruments chez lui: le nhi Viet, le sarangi Népalais, le masinqo Amhara, le erhu Chinois, le morin khuur Mongol, le kyl-kobyz Kazakh, le sokou Peul, le nyckelharpa Suédois, la lyre Crétoise...

Mathilde Spini : Mathilde découvre les cornemuses en 2010, ces instruments profondément liés aux cultures traditionnelles d'occitanie, d'Italie, d'Espagne, mais aussi des pays de l'est et du Maghreb. Elle apprend à sonner la cornemuse du centre France (dite aussi "musette" ou "16 pouces") auprès d'Eric Montbel, un des pionniers du revival des musiques traditionnelles en France et des travaux de collectage de répertoires en Limousin et en Auvergne. Elle s’intéresse particulièrement aux liens entre collectages, musiques traditionnelles à danser et musiques expérimentales, et aux recherches sur les nouvelles musiques traditionnelles et électroniques.

Léa Duval : A commencé le piano à l'école primaire, via une formation plutôt classique, poursuivie jusqu'au lycée. L'accordéon, elle l'a découvert pour ses 20 ans (instrument offert par ses amis et sa famille parce qu'il permet de jouer du "piano transportable"). Avec l'accordéon, elle a rejoint l'ensemble de musique du monde de la Magalone (cité de la musique) pour deux ans, puis, l'été dernier, la musique trad/folk avec Grive et Ours

Manuel Magri : commence l’apprentissage de la musique à l’âge de 12 ans avec des cours de guitare classique. Après 4 ans, il étudie la basse électrique pour laquelle il découvre une vraie passion, il reconnait dans cet instrument son propre moyen d’expression. Il ne se limite pas dans un genre particulier et pratique son instrument dans différents contextes artistiques: genres musicaux comme rock progressive, punk, musique classique; formations; représentations publiques.

Maud Verburgh: Musicienne autodidacte depuis ses 16 ans, Maud s'est vite passionnée pour les expérimentations guitare chant, à base d'harmonies tribales, orientales et jazzy. C'est plus tard, alors qu'elle suit un cursus de licence Arts du Spectacle, qu'elle découvre et approfondi la flûte, les percussions, puis la guimbarde et le didgeridoo. Après un Master en Dramaturgie, puis un séjour en Inde ou elle s'initie à la musique Carnatique auprès d'un Brahmane, elle travaille actuellement en tant que comédienne et musicienne dans différentes Compagnies de Spectacle Vivant.

Fauve Beauvieux : Après des années de pratique de la guitare, spécialisée en jazz manouche, à son retour de son premier voyage en Algérie en 2010, elle décide de s’installer à Marseille pour apprendre le oud et faire une formation de conteuse. S’ensuit alors l’étude de la musique chââbi, diwane, tergui, kabyle, (toutes traditionnelles algérienne), mais aussi méditerranéennes, comme turque, orientale, égyptienne, grecque et bien d’autres. Aime la musique fusion de tout genre, surtout quand il y a du jazz et du hip-hop dedans.

Du côté algérien

Koceila Kebiri : né le 22 juin 1989 à Tizi Ouzou. C’est à l’âge de 5 ans qu’il commence une année et demie de cours de solfège avec un professeur particulier, sous l’initiative de son père qui pensait que l’art donne à l’être humain l’équilibre dont il a besoin. À 12 ans, il s’inscrit pour une formation chaâbi à la maison de jeunes de son village, formation qui a duré un an. Depuis, il vit dans ce monde avec l’amour et le partage sans essayer de faire carrière dans ce milieu... Il est également artiste plasticien.

Amine Saidi : Guitariste algérois fan de jazz, a été aussi formé en musique Gnawa par le mââlem Mohamed Bahaz

Omar Bennacer : Mandoliste algérois puriste de la musique chââbi, même formation qu’Amine au niveau gnawi

Seddik Bourezg: C’est à l’âge de 8 ans qu’il commence à fréquenter le monde de la musique, grâce à son père qui l’a intégré dans une fanfare. À 15 ans, il devient chef de la fanfare, en 2009 il intègre l’école régionale de musique de Laghouat. Il en sortira majeur de promotion en 2015. En 2012, il passe le concours pour être formateur de fanfare et l’obtient brillamment.

Hamza Bourezg: Guitariste de Laghouat aux influences très diverses, guitariste dans le groupe « Mother »

Le groupe de rap 3paz : Moha, Yahya et Yasser

Noria : chanteuse du village kabyle de Djemâa Saharidj, Noria a quelques albums à son actif et enflamme les fêtes kabyles avec sa voix enchanteresse.

Rafik Chioukh: leader du groupe algérois KDAwKDA qui est dans la fusion Africaine, Rafik est un jeune musicien (Auteur compositeur, chanteur) .Né en Grande Kabylie, issue d'une famille de musiciens, il a appris la musique en touchant aux instruments, après avoir commencé à taper à la percussion (Batterie) il est passé au piano, puis il trouva sa voie dans les instruments a cordes, lui permettant d'improviser et de composer ces propres chansons qui ont un air oriental et occidental a la fois

du côté tunisien

Rania Jdidi : Chanteuse professionnelle, elle a participé à l’émission X Factor

Marwen Ouni : jeune percussionniste, également clown et membre de la troupe de théatre de rue Fullen à Tunis